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Nous avons identifié trois faiblesses majeures des Merchant Category Codes (MCC):

• Ils sont incorrects: catégorisation erronée
• Ils sont imprécis: pas de catégorisation du tout ou définitions de catégories trop larges
• Ils sont incohérents: des noms de commerçants donnés sont affectés simultanément à plusieurs catégories différentes

Notre modèle corrige, dans une large mesure, cette catégorisation sujette à erreurs.

Le modèle de catégories standard est basé sur des exemples internationaux courants et distingue trois catégories principales de niveau de détail variable et jusqu’à 75 sous-catégories. Notre modèle comprend en particulier un éventail complet de catégories spécifiques à la Suisse (p. ex. pension 3a ou impôts). Si nécessaire, le modèle de catégories peut être étendu de manière personnalisée pour certains cas d’utilisation. Nous vous montrerons volontiers ce qu’il est possible de faire.

SIX a mis au point un modèle générique capable de traiter les données relatives à tous les moyens de paiement connus. Outre les paiements entrants et sortants classiques dans le cadre des opérations bancaires électroniques ou mobiles, il traite également les paiements par carte de débit ou de crédit, les paiements TWINT, les factures eBill et QR.

Les transactions qui ne contiennent pas, ou pas assez, d’informations ne peuvent pas être catégorisés. Il s’agit par exemple d’affections manquantes, de numéros de référence interne sans référence au nom de l’entreprise ou d’autres cas similaires.

Les consommateurs peuvent immédiatement identifier les opérations qu’ils ont effectuées. Cela réduit considérablement le risque de mal interpréter les données et de soumettre une demande de remboursement erronée ou une déclaration de fraude injustifiée. Par ailleurs, ces métadonnées permettent aux clients de proposer aux utilisateurs de leur application une expérience de gestion financière personnalisée, grâce à des fonctions d’analyse et de filtrage. Les utilisateurs sont plus satisfaits, ce qui accroît le taux de rétention.

Le module «Category» utilise principalement un algorithme développé par nos soins qui analyse les champs de texte de description afin d’y repérer des formes à comparer à notre liste de plus de 100 catégories détaillées. Ce module est également capable d’exploiter d’autres données, telles que les données relatives aux codes de catégories de commerçants (MCC) ou d’autres données, afin de restreindre le nombre de formes à comparer. À l’issue de l’analyse, le module «Category» classe les données dans des catégories plus ou moins détaillées et détermine le logo correspondant pour l’affichage. Les différents niveaux de catégorisation sont personnalisables et peuvent être directement appliqués à différents cas d’utilisation, tels que l’affichage de données supplémentaires sur les opérations bancaires et électroniques ou mobiles du commerçant concerné, ou l’exécution d’analyses à différents niveaux.

Par exemple, une opération dont la description est «Volt 3a - Dynamisch Risiko hoch,DA00100123456789012,XXX AAA,XXX, 8008 Zürich» pourrait se voir affecter les étiquettes de catégorisation de niveau de détail croissant «Dépense», «Épargne et placements», «Troisième pilier».

Le module «Pretty names» extrait les chaînes de caractères relatives aux commerçants des champs de description et les compare à la base de données de commerçants que nous gérons. Si une chaîne commerçant ne peut être associée à aucune entrée de la base de données, nous appliquons un algorithme de recherche de formes capable d’identifier la plupart des commerçants suisses. Lorsque les commerçants sont identifiables, le module «Pretty Names» renvoie un nom explicite qui reflète l’activité de l’entreprise concernée.

Le module «Logos» utilise la même technique que le module «Pretty Names» pour faire correspondre les chaînes de caractères relatives aux commerçants figurant dans les champs de description aux logos de la base de données de logos commerçants que nous gérons. Si un commerçant n’a pas de logo public spécifique, ou s’il s’agit d’un commerçant (privé) sur des sites tels que Ricardo, le module «Logos» affiche à la place un logo de catégorie ou de plateforme.

Le module «Merchant Details» fournit des données supplémentaires sur le site du commerçant où la transaction a été effectuée, par exemple la géolocalisation, l’adresse, le site Internet et le numéro de téléphone. Pour cela, des champs de données supplémentaires restreignant la localisation géographique, tels que des codes postaux, doivent être fournis afin que des filiales/magasins précis du commerçant puissent en être déduits.